Récemment, Richard Flanagan, auteur australien et lauréat du Prix Baillie Gifford de non-fiction, a surpris tout le monde. Il a remporté ce prestigieux prix pour « Question 7 », mais a refusé la dotation de 60 000 € offerte par le sponsor 💥
La raison ? Les investissements controversés de Baillie Gifford dans les énergies fossiles et d’autres industries sensibles.
Voici les points clés de cette affaire qui mêle littérature, éthique et responsabilité environnementale.
📌 Un livre à message fort
« Question 7 » questionne les choix de vie et leurs conséquences sur les autres. Une réflexion sur le passé qui résonne avec les défis du présent.
📌 Un geste symbolique
Refuser une somme aussi importante pour rester fidèle à ses valeurs, voilà une action qui interpelle clairement ! Flanagan a encouragé le sponsor à investir davantage dans les énergies renouvelables.
📌 Un mécène sous les projecteurs
Baillie Gifford, pourtant acteur majeur du mécénat littéraire au Royaume-Uni, est critiqué pour ses financements dans les combustibles fossiles.
📌 Un précédent
Plusieurs festivals littéraires, comme Hay et Édimbourg, ont déjà coupé les ponts avec ce sponsor, renforçant le débat sur l’éthique du mécénat.
📌 Une voix pour la Tasmanie
Flanagan a profité de son discours pour alerter sur les impacts du changement climatique sur sa terre natale et les écosystèmes uniques qu’elle abrite.
📌 Un mouvement collectif
D’autres finalistes du prix ont également redistribué leurs gains à des causes militantes, comme Viet Thanh Nguyen, qui a soutenu un projet pour les jeunes Palestiniens.
👉 « Le monde est complexe. […] Nous sommes tous complices. » Ces mots de Flanagan rappellent que chaque décision a un poids, que ce soit dans la littérature, la finance ou notre quotidien.
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