Dans un article récent, Harvard Business Review France publie une analyse sur Les nouveaux défis du mécénat d’entreprise à l’ère de l’IA et comment les entreprises peuvent-elles continuer à soutenir l’art de manière authentique et impactante.
Voici les points principaux que j’ai relevé.
✔ L’essor de l’art numérique
Les entreprises consacrent une part importante de leur budget à l’art contemporain, dont une proportion croissante se dirige vers l’art numérique. La technologie permet une exploration créative sans précédent, avec l’IA en tant qu’assistant plutôt que remplaçant de l’artiste.
✔ L’art analogique n’a pas dit son dernier mot
Malgré la montée en puissance du numérique, l’art « traditionnel » conserve sa magie unique. Les entreprises ont un rôle clé dans son soutien, permettant une « seconde vie » de l’art analogique face aux technologies émergentes.
✔ L’IA, un outil pour les artistes, pas un créateur autonome
Comme un appareil photo pour un photographe, l’IA aide les artistes à tester, expérimenter et repousser les limites de leur imagination. Mais elle ne peut recréer l’intention et l’émotion d’un être humain.
✔ Explorer de nouvelles perspectives
Avec l’IA, les créateurs peuvent explorer des terrains inédits et repousser les frontières de leur art. Mais, comme l’explique Matthieu Cord, l’art réside dans cette connexion émotionnelle et intellectuelle que l’IA ne pourra jamais égaler.
✔ Complémentarité entre art numérique et analogique
À l’image de la photographie qui n’a pas remplacé le portrait mais l’a enrichi, l’art numérique et analogique se complètent, chacun apportant une nouvelle dimension à l’autre.
✔ Un mécénat conscient
Pour soutenir l’art dans sa complexité, les entreprises doivent valoriser à la fois les œuvres analogiques et numériques. Ce soutien est essentiel pour préserver une diversité artistique qui parle à notre époque, tout en contribuant à un futur où l’art reste un vecteur de sens et d’émotions.
👉 Soutenir la création sous toutes ses formes, c’est s’assurer d’un patrimoine culturel riche et diversifié pour les générations à venir.
Lire l’article complet